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Zona ophtalmique de Mme P.
Samedi 16 juin 2012, nous rentrons d’un séjour très agréable en Irlande par un bateau de Brittany ferries. Après un bon repas, fatiguée, je regagne la cabine et je sens comme des picotements sur le front. Depuis jeudi, j’ai un peu mal à la tête du côté gauche, mais je n’y prête guère attention.
Dimanche matin, arrivée en France : cloques à gauche du front. Le lundi, je vais chez le médecin (les cloques ont gonflé) qui diagnostique un zona à l’œil gauche et m’explique que c’est dangereux car je peux perdre l’œil sans intervention dans les 4 jours (ouf, nous sommes dans les délais !). Un ophtalmologiste me reçoit en urgence, il me prescrit un traitement antiviral pour une semaine.
Mon médecin (personne très ouverte qui pratique l’acupuncture) me suggère de « trouver quelqu’un » pour accompagner le traitement et ses petites aiguilles.
Quelqu’un, mais qui ? Je lance mes réseaux (la Bretagne, c’est bien connu, est une terre de
« sorciers »), mais seule, une amie me dit qu’elle a une adresse, que je contacte aussitôt et dès le lendemain mardi, je suis reçue par Catherine Lejeune.
La séance dure longtemps (je me sens un peu floue), je décolle de la table plusieurs fois en des soubresauts bien involontaires et je ressorts avec beaucoup d’espoir car je me sens prise en charge. En effet, Catherine m’a dit que je pouvais l’appeler si cela n’allait pas. Elle va me magnétiser des bombonnes d’eau pour aider l’évolution et la cicatrisation.
Le mercredi matin, je suis prise de faiblesse et je n’arrive même pas à appeler moi-même Catherine. Je lui explique mon état et elle me propose une séance à distance pendant 15mn (je suis tellement mal que je ne m’en étonne même pas !). Elle me rappelle à l’issue du quart d’heure et je suis beaucoup mieux, j’ai ressenti des émotions, des douleurs (légères) et le plus surprenant...elle aussi ! Merci le reiki, elle intervient sans que je me déplace (ce qui me serait difficile car j’ai enflé et ne peut plus guère ouvrir les yeux,la lymphe qui ne trouve plus son passage a envahi le visage et je ressemble à un hamster, c’est très valorisant, en plus des cloques purulentes!).
Catherine m’a demandé de prendre des photos chaque jour pour constater l’évolution. Elle m’a suivie de près (une autre séance chez elle et 3 à distance) et de loin (elle m’a téléphoné ou envoyé un mail quasiment chaque jour), m’a fait parvenir des bidons d’eau pour que je n’en manque jamais, enfin m’a accompagnée pas à pas pendant les 3 semaines qu’a duré le zona.
Je me suis, depuis, renseignée sur des cas similaires.
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un zona ophtalmique est extrêmement douloureux : je n’ai pas eu mal
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il se guérit en plusieurs mois : 4 semaines après, je reprenais une vie normale
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une douleur diffuse persiste pendant plusieurs années (5 ans selon certains témoignages) : je
n’ai pas eu de douleur après guérison
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le patient garde de grosses cicatrices. Je n’en ai que 2 petites parce que je n’ai pas été
patiente et que j’ai arraché les dernières croûtes (que celui qui n’a jamais péché, jette la
première pierre !)
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l’œil garde une fragilité : mes deux yeux n’ont pas de différence.
Je pense que cette guérison rapide et complète je la dois en priorité à Catherine Lejeune, mais, pour être tout à fait honnête, je dois préciser que mon médecin (par ses médicaments et séances d’acupuncture), mon ostéopathe (qui m’a donné un sachet imprégné d’huiles essentielles à porter sur moi), mon entourage direct (qui m’a soutenue et supporté le « spectacle ») et moi-même (qui avais une réelle volonté de lutter pour en sortir vite) ont formé une association vers ma guérison.
Je crois beaucoup à cette collaboration de bonnes volontés et de compétences qui, comme on peut le constater dans le résultat de réunions de prières accélèrent une guérison ou bien dans la foi des malades à Lourdes qui provoque des miracles parfois.
J’ai longtemps pensé que notre cerveau était comme une sorte de « disque dur », plus ou moins rempli et utilisé. Je crois maintenant que nous nous connectons à une « matrice ». Jung parlait d’inconscient collectif, on évoque aussi la théorie du « 100ème singe » qui montre par exemple qu’aujourd’hui, il est plus facile d’apprendre à faire du vélo qu’au début de la commercialisation des bicyclettes, parce que beaucoup de personnes en maîtrisent la pratique et que cette connaissance peut être partagée, du fait de cet inconscient collectif.
Dans le cas de mon zona, chaque intervenant qui me voulait du bien (moi comprise) est allé chercher de la force et de l’énergie pour me la restituer avec altruisme et générosité.
Merci
Danièle P.
Vannes, décembre 2013